Les contrats uniques d’insertion et les emplois d’avenir en 2014
- 3 septembre 2015
- Dares Analyses N°064
413 000 contrats aidés ont débuté en 2014, 338 000 dans le secteur non marchand et 75 000 dans le secteur marchand.
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413 000 contrats aidés ont débuté en 2014, 338 000 dans le secteur non marchand et 75 000 dans le secteur marchand.
L’édition 2013 visait à obtenir une description concrète du travail, de son organisation et de ses conditions selon divers angles : horaires, rythmes de travail, efforts physiques ou risques encourus, pénibilité, organisation du travail, sécurité, coopération, conflits...
Ce numéro de Synthèse.Stat’ présente les contraintes physiques et les accidents du travail auxquels sont exposés les salariés ainsi que les mesures de prévention des risques dont ils bénéficient.
En 2013, 60 000 résidents des zones urbaines sensibles (Zus) de France métropolitaine ont été recrutés ou renouvelés en contrat unique d’insertion (CUI) ou en emploi d’avenir. Ils représentent 12,2 % des personnes ayant signé un contrat aidé, comme en 2012.
Le contrat de travail à durée indéterminée (CDI) est la forme largement dominante de la relation de travail entre un employeur et un salarié. Il n’est pas forcément synonyme de stabilité de la relation d’emploi.
En 2013, 191 100 personnes se sont inscrites à Pôle emploi à la suite d’un licenciement économique, soit 7 % de plus qu’en 2012.
En 2003, 72 000 résidents en zone urbaine sensible (ZUS) ont accédé à un contrat aidé hors alternance, soit 13 % du total des entrants en France métropolitaine.
Le motif le plus souvent invoqué est le motif économique.
Les adultes qui accèdent à un contrat ou un stage aidé ont un faible niveau de vie et un risque de pauvreté élevé. Dans sept cas sur dix, leur situation financière s’améliore dans les cinq années qui suivent l’entrée en mesure.
L’enquête visait à connaître l'utilisation de l'informatique et des nouvelles technologies.