Quels risques psychosociaux chez les salariées de l’aide à domicile ?
- 1 octobre 2021
- Dares Analyses N°53
Cette étude propose d’identifier les risques psychosociaux des salariées des métiers de l’aide à domicile relativement aux autres salariées.
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Cette étude propose d’identifier les risques psychosociaux des salariées des métiers de l’aide à domicile relativement aux autres salariées.
L’enquête visait à obtenir une description concrète du travail, de son organisation et de ses conditions selon divers angles : horaires, rythmes de travail, efforts physiques ou risques encourus, pénibilité, organisation du travail, sécurité, coopération, conflits…
L’enquête Sumer 2010 visait à surveiller l’exposition des salariés aux risques professionnels.
D’après les résultats d’une enquête réalisée par la Dares auprès de salariés ayant signé une rupture conventionnelle entre avril et juillet 2011, plusieurs circonstances conduisent à la rupture de contrat : des insatisfactions liées au salaire ou au contenu du travail (39 % des cas), une mésentente avec la hiérarchie ou le chef d’établissement (46 % des cas) ou encore l’existence d’un projet professionnel ou personnel (37 %).
Les expositions aux risques professionnels varient fortement d’un secteur d’activité à l’autre, selon le risque considéré, du fait notamment des métiers et contraintes spécifiques à chacun de ces secteurs.
L’absentéisme augmente fortement avec le niveau d’exposition aux contraintes physiques et psychosociales.
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A s’établit à 2 780 500 en France métropolitaine fin septembre 2011. Ce nombre est en hausse par rapport à la fin août 2011 (+0,9 %, soit +26 000). Sur un an, il croît de 3,0 %.
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A s’établit à 2 703 200 en France métropolitaine fin janvier 2011. Ce nombre est en baisse par rapport à la fin décembre 2010 (-0,7 %, soit -19 300). Sur un an, il croît de 1,4 %.
Les salariés des sous-traitants ont en moyenne davantage de contraintes que ceux des donneurs d’ordres en ce qui concerne les horaires et les rythmes de travail.
En 2009, la hausse du nombre de demandeurs d’emploi a résulté d’une forte augmentation des entrées sur les listes de Pôle emploi, conjuguée à de moindres sorties pour reprise d’emploi.