L'emploi intérimaire diminue au 3e trimestre 2018
- 11 décembre 2018
- Dares Indicateurs N°057
Au 3e trimestre 2018, l’emploi intérimaire diminue de nouveau (-1,2 % soit -9 600 intérimaires, après -0,6 % au trimestre précédent soit -4 700).
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Au 3e trimestre 2018, l’emploi intérimaire diminue de nouveau (-1,2 % soit -9 600 intérimaires, après -0,6 % au trimestre précédent soit -4 700).
L’enquête visait à obtenir une description concrète du travail, de son organisation et de ses conditions selon divers angles : horaires, rythmes de travail, efforts physiques ou risques encourus, pénibilité, organisation du travail, sécurité, coopération, conflits…
En France, les ouvriers intérimaires, qui représentent la majorité des personnes en intérim et 8 % des ouvriers, sont très fortement exposés à des contraintes physiques dans leur travail.
En 2013, les contraintes physiques dans le travail concernent plus particulièrement les salariés de l’agriculture, de la construction et de la fonction publique hospitalière.
En 2010, les salariés en France déclarent une intensité du travail équivalente à la moyenne des 27 pays de l’Union européenne.
Les facteurs de pénibilité au travail ont été définis dans la loi de novembre 2010 portant réforme des retraites et confirmés dans la loi de janvier 2014.
Au 2e trimestre 2014, l’activité économique a stagné pour le deuxième trimestre consécutif. Dans le même temps, l’emploi salarié marchand a légèrement rebondi (+8 300 postes après -20 100 postes au 1er trimestre 2014).
À la fin du 3e trimestre 2013, 523 100 salariés sont intérimaires, soit une hausse de 5 000 postes par rapport au trimestre précédent (+ 1,0 %) ; cette hausse fait suite à une baisse enregistrée lors du trimestre précédent (- 0,6 %).
En 2011, dans un contexte d’activité économique ralentie, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 32 milliards d’euros.
L’enquête Sumer 2010 visait à surveiller l’exposition des salariés aux risques professionnels.