Quels sont les emplois vacants début 2022 ?
- 15 décembre 2022
- Dares Focus N°64
50 % des 365 200 emplois vacants comptabilisés en moyenne sur les trois premiers trimestres 2022 dans le secteur privé correspondent à des emplois inoccupés.
15 résultats
50 % des 365 200 emplois vacants comptabilisés en moyenne sur les trois premiers trimestres 2022 dans le secteur privé correspondent à des emplois inoccupés.
Cet article interroge les prises que se donnent (ou non) les salarié·es pour négocier les salaires avec leurs employeur·ses, et si le fait de se mobiliser influe sur l’issue des négociations.
L’indice du salaire mensuel de base (SMB) de l’ensemble des salariés progresse de 1,0 % et l’indice du salaire horaire de base des ouvriers et des employés (SHBOE) de 1,2 % au cours du 3e trimestre 2022.
L’indice du salaire mensuel de base (SMB) de l’ensemble des salariés progresse de 1,1 % et l’indice du salaire horaire de base des ouvriers et des employés (SHBOE) de 1,2 % et au cours du 1er trimestre 2022.
Dans le domaine professionnel du bâtiment et des travaux publics, les tensions sur le marché du travail sont en hausse pour le deuxième trimestre consécutif (+6,9 % par rapport au trimestre précédent).
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi de catégorie A s’établit à 2 630 400 en France métropolitaine fin novembre 2009. Ce nombre augmente par rapport à la fin octobre 2009 (+0,1 %, soit +3 100). Sur un an, il croît de 22,1 %.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 84,5 % des salariés travaillent à temps complet au troisième trimestre 2009.
Portée à 28,4 milliards d’euros en 2007, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage a progressé de 4,9 % par rapport à 2006.
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi de catégorie A s’établit à 2 506 700 en France métropolitaine fin avril 2009. Ce nombre augmente par rapport à la fin mars 2009 (+2,4 %, soit +58 500). Sur un an, il croît de 24,6 %.
Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».