Quels risques psychosociaux chez les salariées de l’aide à domicile ?
- 1 octobre 2021
- Dares Analyses N°53
Cette étude propose d’identifier les risques psychosociaux des salariées des métiers de l’aide à domicile relativement aux autres salariées.
11 résultats
Cette étude propose d’identifier les risques psychosociaux des salariées des métiers de l’aide à domicile relativement aux autres salariées.
5 746 000 demandeurs d’emploi sont tenus de rechercher un emploi (catégories A, B et C) au 4e trimestre 2019.
L’enquête visait à obtenir une description concrète du travail, de son organisation et de ses conditions selon divers angles : horaires, rythmes de travail, efforts physiques ou risques encourus, pénibilité, organisation du travail, sécurité, coopération, conflits…
L'IReSP et l’ensemble de ses partenaires, dont la Dares, ont lancé, en 2017, un appel à projet de recherche général annuel sur la prévention.
La Dares a lancé un appel à recherches quantitatives et qualitatives (post-enquêtes) sur les pratiques de prévention face aux risques professionnels, conjointement avec la DGAFP et la Drees.
L’enquête Sumer 2010 visait à surveiller l’exposition des salariés aux risques professionnels.
D’après les résultats d’une enquête réalisée par la Dares auprès de salariés ayant signé une rupture conventionnelle entre avril et juillet 2011, plusieurs circonstances conduisent à la rupture de contrat : des insatisfactions liées au salaire ou au contenu du travail (39 % des cas), une mésentente avec la hiérarchie ou le chef d’établissement (46 % des cas) ou encore l’existence d’un projet professionnel ou personnel (37 %).
L’enquête visait à explorer les liens entre les problèmes de santé et les parcours professionnels et conditions de travail.
« Au cours des douze derniers mois, vous est-il arrivé d’interrompre ou de refuser une tâche pour préserver votre santé ou votre sécurité ? » 12 % des salariés ont répondu par l’affirmative à cette question dans l’enquête Sumer 2010.
Les infirmières et aides-soignantes sont plus exposées que les autres salariés à certains produits chimiques cancérogènes et aux radiations.