Analyse économique des liens entre l’épargne salariale et les politiques de rémunération
- Le 15 novembre 2013
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Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,2 % au 3e trimestre 2013 et de 1,6 % sur un an.
En 2011, 56,5 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,8 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 84,0 % des salariés travaillent à temps complet fin juin 2013.
Au premier semestre 1998, le ralentissement des salaires s’est poursuivi, mais la faiblesse des hausses des prix a permis de nouveaux gains de pouvoir d’achat.
La durée hebdomadaire effective du travail s’établit début octobre 1998 à 38,77 heures pour l’ensemble des salariés (38,83 heures pour les ouvriers et 38,74 heures pour les non-ouvriers) en données brutes, contre 38,88 heures en octobre 1997.
Mesurée au début du troisième trimestre 1998, la durée hebdomadaire moyenne du travail connaît une baisse par rapport à la même période en 1996 et 1997.
En 1997, près de 30 milliards de francs ont été attribués au titre de la participation (17,3 milliards de francs) ou de l’intéressement (12,5 milliards de francs).
En 1997, environ 77 000 salariés ont été recrutés au titre de l’exonération de charges sociales patronales pour l’embauche d’un premier salarié (soit environ 5 % de plus qu’en 1996).
En 1997, neuf salariés sur dix ont bénéficié d’augmentations de salaire, soit un peu plus qu’n 1996.