Les mouvements de main-d’œuvre de 2007 à 2015
- 6 avril 2007
L'enquête complétait pour les établissements de 1 à 49 salariés, les informations obtenues grâce à la déclaration des mouvements de main-d’œuvre.
11 résultats
L'enquête complétait pour les établissements de 1 à 49 salariés, les informations obtenues grâce à la déclaration des mouvements de main-d’œuvre.
L’analyse des réponses jusqu’à mars 2003 montre que le CIE est efficace du point de vue du retour à l’emploi et de l’amélioration du niveau de vie, alors que les CES et les SIFE n’améliorent pas la situation des bénéficiaires par rapport aux trajectoires des témoins.
427 000 personnes sont allocataires du régime de solidarité au 31 décembre 2004, soit 9,8 % de l’ensemble des personnes potentiellement indemnisables par une allocation chômage.
En 2003, l’activité des organismes de formation continue reste soutenue : leur chiffre d’affaires progresse de 10 % et le nombre de stagiaires de 9 %. Les entreprises et les pouvoirs publics apportent deux tiers des financements.
La dépense globale de la Nation en faveur de la formation professionnelle continue et l’apprentissage a augmenté de 1,8 % en 2003.
Les entrées en contrat aidé ont nettement augmenté entre 1995 et 1999. Par la suite, elles se sont moins repliées qu’en métropole.
Au deuxième trimestre 2004, la rotation de la main-d’œuvre, hors intérim, continue à augmenter dans les établissements d’au moins dix salariés.
En 2003, au creux du cycle conjoncturel, le turnover diminue dans les établissements de 10 salariés ou plus sous l’effet conjugué d’une baisse des embauches et des sorties d’emploi.
En 2002, l’effort de la nation en matière de formation professionnelle et d’apprentissage s’amenuise encore : avec 1,43 % de la richesse nationale, il retrouve un niveau proche de celui de 1988.
Au premier trimestre 2004, la rotation de la main-d’œuvre continue d’augmenter dans les établissements de 10 salariés ou plus, prolongeant la tendance du trimestre précédent.