Risques du travail : autour de Sumer 2010
- Le 24 mai 2013
9 résultats
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,7 % au 1er trimestre 2013 et de 1,9 % sur un an.
L’enquête visait à explorer les liens entre les problèmes de santé et les parcours professionnels et conditions de travail.
« Au cours des douze derniers mois, vous est-il arrivé d’interrompre ou de refuser une tâche pour préserver votre santé ou votre sécurité ? » 12 % des salariés ont répondu par l’affirmative à cette question dans l’enquête Sumer 2010.
Le salaire minimum interprofessionnel de croissance - le SMIC - a été instauré par la loi du 2 janvier 1970 , se substituant au SMIG (salaire minimum garanti), afin d'assurer aux salariés dont les rémunérations sont les plus faibles une participation au développement économique de la Nation
Les contraintes de rythme de travail, leurs sources, leurs modalités ainsi que différents types de nuisances et risques perçus par les salariés dans l'environnement de leur travail.
En 1983, les primes représentaient en moyenne 12,4 % de la masse salariale de l'ensemble des établissements et 13 % de celle des établissements ayant versé des primes. Leur part dans la rémunération s'est accrue dans le premier cas de 2 points et de 1,5 point dans le deuxième par rapport à 1977.
Globalement, le salaire mensuel moyen de l'ensemble des salariés atteint 7 682 F. D'octobre 1984 à octobre 1985, les gains ouvriers progressent au même rythme que les salariés des catégories non ouvrières (respectivement 6,1 % et 6,2 %).
Entre 1982 et 1984, le travail en équipes successives s'est développé : la proportion de salariés concernés passe de 10,4 % de l'ensemble des salariés en 1982, à 12,6 % en 1984. Et la part des établissements ayant recours à ce mode de travail, de 7,4 % à 8,7 % de l'ensemble des établissements.