Les contrats emploi-solidarité et les contrats emploi consolidé en 2005 : derniers mois
- 14 septembre 2006
- Dares Résultats N°38.1
121 000 contrats emploi-solidarité ont été signés en 2005, à 80 % au cours des quatre premiers mois de l’année.
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121 000 contrats emploi-solidarité ont été signés en 2005, à 80 % au cours des quatre premiers mois de l’année.
L’analyse des réponses jusqu’à mars 2003 montre que le CIE est efficace du point de vue du retour à l’emploi et de l’amélioration du niveau de vie, alors que les CES et les SIFE n’améliorent pas la situation des bénéficiaires par rapport aux trajectoires des témoins.
427 000 personnes sont allocataires du régime de solidarité au 31 décembre 2004, soit 9,8 % de l’ensemble des personnes potentiellement indemnisables par une allocation chômage.
En 2004, plus de 2 000 structures d’insertion par l’activité économique étaient en activité : entreprises d’insertion, entreprises de travail temporaire d’insertion et associations intermédiaires
En 2004, 2 500 embauches ont ouvert droit à une exonération au titre des zones de redynamisation urbaine (ZRU).
En 2004, 330 000 chômeurs ont débuté une formation financée par l’État. Les stages d’insertion et de formation à l’emploi (SIFE) se replient, alors que les stages d’accès à l’entreprise (SAE) et les stages de l’AFPA restent stables.
En 2004, 12 000 salariés ouvrant droit à l’exonération ont été embauchés par des établissements implantés dans l’une des 79 zones franches urbaines (ZFU) de France métropolitaine.
Pour sa deuxième année d'application, le succès de cette mesure est très appréciable : 63 500 embauches ont été réalisées en 1990 pour 71 000 en 1989.
Dans le cadre du dispositif des contrats emploi-solidarité, 225 500 salariés ont été embauchés entre février et décembre 1990 sur un contrat de travail à durée déterminée et à mi-temps par des collectivités territoriales, des établissements publics ou des associations.
Sur les 160 conventions exploitées, la moitié des entreprises d'insertion relèvent en 1990 des services non marchands, le quart des services marchands (dont 14 % des services marchands rendus aux particuliers) et 17% du bâtiment génie civil et agricole.