Conjoncture de l'emploi et du chômage au 3e trimestre 2006
- 22 décembre 2006
- Dares Indicateurs N°52.3
Au 3e trimestre de 2006, le PIB a stagné : 0,0 %, après +1,2 % au 2ème trimestre.
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Au 3e trimestre de 2006, le PIB a stagné : 0,0 %, après +1,2 % au 2ème trimestre.
Trois quarts des jeunes embauchés début 1999 en emploi-jeune dans une collectivité locale, un établissement public ou une association et restés au moins deux années en poste ont occupé un emploi immédiatement après leur sortie du dispositif.
Au 2e trimestre de 2006, le PIB accélère nettement : +1,2 %, après +0,4 % au 1er trimestre. Les créations d’emplois salariés prennent de l’ampleur et s’élèvent à +54 000 dans le secteur marchand non-agricole, après +28 000 au trimestre précédent.
Au 1er trimestre de 2006, le PIB progresse de +0,5 % après +0,3 % au 4ème trimestre.
En 2003, dans le secteur concurrentiel, près de 100 000 établissements de 20 salariés et plus étaient assujettis à la déclaration obligatoire d’emploi des travailleurs handicapés.
Au 4e trimestre de 2005, l’activité économique progresse moins fortement : +0,4 %, après +0,7 % au 3ème trimestre.
Les très petites entreprises (TPE) recourent davantage à des formes d’emploi à durée limitée ou à temps partiel et à des contrats aidés par l’État que leurs homologues de 10 salariés ou plus.
Le taux de chômage est très différent suivant les professions : il varie de 1 pour les médecins à 40 % pour les ouvriers non qualifiés du travail du métal. L'évolution de l'emploi n'explique pas seule les différences du chômage d'une profession à l'autre.
La reprise de l'activité économique enregistrée en France à partir de la fin de l'année 1993 s'est traduite dès le premier semestre 1994 par un important mouvement d'embauches : les créations d'emploi ont été plus fortes que prévu en 1994 (+ 266 000).
Depuis les années soixante, le taux d'activité féminin n'a cessé de croître en France : la part des femmes dans l'emploi augmente continûment, en particulier dans le secteur public. Mais elles sont également davantage touchées par le chômage ou sous-employées.