Les métiers en 2030 : quels déséquilibres potentiels ?
- 10 mars 2022
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120 000 postes seraient non pourvus par les jeunes débutant leur carrière chaque année entre 2019 et 2030.
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120 000 postes seraient non pourvus par les jeunes débutant leur carrière chaque année entre 2019 et 2030.
Les secteurs et métiers les plus dynamiques, les départs en fin de carrière, les jeunes qui arrivent sur le marché du travail, les postes à pourvoir, les métiers en déséquilibre... tour d'horizon des perspectives des métiers d'ici à 2030.
1 million de postes seront créés entre 2019 et 2030. Découvrez les métiers qui créeront le plus d'emplois : ingénieurs de l'informatique, infirmiers et sages-femmes, aides-soignants, cadres commerciaux et technico-commerciaux, aides à domicile, ouvriers qualifiés de la manutention...
Agents d'entretien, enseignants, aides à domicile, conducteurs de véhicules, aides-soignants... 760 000 postes à pourvoir chaque année d’ici à 2030.
18 mois après leur inscription à Pôle emploi, 53 % des salariés licenciés pour motif économique entrés en contrat de sécurisation professionnelle (CSP) en avril ou mai 2014 occupent un emploi salarié ou ont créé une entreprise.
Le RSA est entré en vigueur le 1er juin 2009. Fin 2010, 2,2 millions de personnes vivaient dans un foyer bénéficiaire du RSA (personne allocataire ou conjoint) : 1,6 million au titre du RSA socle et 0,6 million au titre de RSA activité seul, nouvelle composante de la prestation.
Entre janvier 2005, date de création du dispositif, et décembre 2008, 198 Maisons de l’emploi ont été conventionnées en France métropolitaine.
En 2003, l’activité des organismes de formation continue reste soutenue : leur chiffre d’affaires progresse de 10 % et le nombre de stagiaires de 9 %. Les entreprises et les pouvoirs publics apportent deux tiers des financements.
La dépense globale de la Nation en faveur de la formation professionnelle continue et l’apprentissage a augmenté de 1,8 % en 2003.
En 2002, l’effort de la nation en matière de formation professionnelle et d’apprentissage s’amenuise encore : avec 1,43 % de la richesse nationale, il retrouve un niveau proche de celui de 1988.