Formation employeur - annuelle (2023)
- 4 avril 2024
Vous avez reçu une lettre ou un mail vous invitant à répondre à un questionnaire en ligne sur vos pratiques de formation ?
274 résultats
Vous avez reçu une lettre ou un mail vous invitant à répondre à un questionnaire en ligne sur vos pratiques de formation ?
En France, depuis deux siècles environ, les gouvernements successifs jouent un rôle crucial dans la mise en place d’infrastructures permettant de mettre en relation des demandeurs d’emploi avec des postes. Retraçant cette histoire, l’article rend également compte des catégories et des cadres idéologiques mobilisés par les pouvoirs publics pour mettre en œuvre un tel appariement.
Le nombre de salariés concernés augmente progressivement jusqu’en avril 2021, où il atteint 271 000, mais représente alors une part marginale de l’activité partielle (10 %).
Alors que l’État a fortement encouragé et financé l’articulation entre chômage partiel et formation pendant la crise sanitaire, seule une minorité de salariés placés en activité partielle a suivi une formation en 2020.
A travers plusieurs expérimentations, l’idée d’un « circuit-court » d’accès à l’emploi est passée au crible d’une enquête empirique multi-située, menée par FORS-Recherche sociale, pour analyser la manière dont sont conçues et mises en œuvre des formations centrées sur la pratique.
Sur l’ensemble des sortants de Pacea n’incluant pas de Garantie jeunes, 54% ont une durée de parcours inférieure à un an.
Lors des confinements suite à l’épidémie de Covid-19, l’accompagnement des missions locales s’adapte aux restrictions liées à la crise sanitaire.
Entre 2019 et 2021, près d’un million de jeunes sortent d’un Parcours contractualisé d’accompagnement vers l’emploi et l’autonomie (Pacea), qui est le cadre contractuel de l’accompagnement des jeunes en missions locales.
Entre janvier 2021 et juin 2022, le nombre de salariés placés en activité partielle recule fortement même s’il reste, mi-2022, supérieur à celui d’avant la crise sanitaire.
En janvier 2021, parmi les personnes ayant travaillé au moins une semaine depuis le début de la pandémie en mars 2020, 96 % ont conservé leur emploi : 93 % continuent de travailler tandis que 3 % ne travaillent pas du tout et sont en « activité partielle ».