Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en novembre 2021
- 23 décembre 2021
- Covid-19
En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
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En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
Fin septembre 2021, 16,7 % des salariés du privé travaillent à temps partiel et 83,3 % travaillent à temps complet dans les entreprises de 10 salariés ou plus, hors agriculture, particuliers employeurs et activités extraterritoriales.
La durée hebdomadaire du travail est en légère baisse par rapport au début du troisième trimestre 1995. Elle s'établit, en moyenne, à 38,96 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,87 heures pour les non-ouvriers et à 39,07 heures pour les ouvriers.
En novembre 1995, les proportions d'ouvriers et d'employés ayant bénéficié d'une augmentation de leur salaire de base restent modérées. Les employés augmentés sont toutefois nettement plus nombreux qu'en octobre.
15 000 emplois ont été créés au cours du troisième trimestre 1995. L'emploi a ainsi augmenté de 0,1 %. Le rythme des créations d'emploi s'est ralenti, puisqu'il avait atteint 0,3 % au premier trimestre et 0,4 % au deuxième.
En avril 1995, le gain moyen mensuel brut d'un salarié, primes mensuelles comprises, s'élève à 11 388 F. En moyenne, un ouvrier gagne 8 504 F, un employé 9 247 F, un technicien-agent de maîtrise 12 697 F et un cadre 22 473 F.
Interrogées en 1994 et 1995, les entreprises déclarent qu'elles pourraient accueillir, et ce uniquement si certaines conditions étaient effectivement réalisées, environ 700 000 jeunes en alternance en plus des 450 000 qu'elles emploient déjà.
Pour ne pas licencier lorsqu'elles rencontrent des difficultés d'ordre conjoncturel, les entreprises françaises et allemandes peuvent notamment réduite la durée du travail ou interrompre temporairement leur activité sans rompre le contrat de travail de leurs salariés.