En 2020, les contrats aidés remobilisés face à la crise sanitaire
- 7 octobre 2021
- Dares Résultats N°55
En 2020, les entrées en contrats aidés continuent de diminuer mais sont davantage ciblées sur les jeunes dans le cadre du plan #1jeune1solution.
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En 2020, les entrées en contrats aidés continuent de diminuer mais sont davantage ciblées sur les jeunes dans le cadre du plan #1jeune1solution.
Les dépenses en faveur de l’emploi sont en légère hausse entre 2017 et 2019 (+0,7 % en euros constants), pour atteindre 144,1 milliards d’euros (soit 5,9 points de PIB).
Fin 2019, le secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) compte 134 300 salariés (+1,4 % par rapport à fin 2018).
177 300 embauches en contrat de professionnalisation ont eu lieu en 2014 dans l’ensemble des secteurs, soit une hausse de 3 % après une baisse de 3 % entre 2012 et 2013.
Au 2e trimestre 2015, l’activité économique française est stable après une progression de 0,7 % au trimestre précédent.
Selon les employeurs de contrats aidés du secteur non marchand, 64 % des embauches en CUI-CAE ou en emploi d’avenir n’auraient pas eu lieu sans l’aide financière de l’État.
La loi du 1er mars 2013 portant création du contrat de génération instaure une aide à destination des petites et moyennes entreprises, pour l’embauche d’un jeune en CDI associée au maintien en emploi ou à l’embauche d’un salarié âgé.
En 2013, 60 000 résidents des zones urbaines sensibles (Zus) de France métropolitaine ont été recrutés ou renouvelés en contrat unique d’insertion (CUI) ou en emploi d’avenir. Ils représentent 12,2 % des personnes ayant signé un contrat aidé, comme en 2012.
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail, ciblées ou générales, sont estimées à 85,7 milliards d’euros (Md€) en 2012, soit 4,1 points de PIB.
Au 2e trimestre 2008, le PIB a diminué de -0,3 %, après avoir progressé de +0,4 % au 1er trimestre 2008.