Former les demandeurs d'emploi à se former
- 17 décembre 2021
- Document d'études N°256
Cette étude propose une évaluation de l’impact du dispositif "Prépa compétences" sur l’entrée en formation et l’accès à l’emploi des demandeurs d’emploi.
15 résultats
Cette étude propose une évaluation de l’impact du dispositif "Prépa compétences" sur l’entrée en formation et l’accès à l’emploi des demandeurs d’emploi.
Pour une majorité des personnes en recherche d’emploi ayant suivi une formation en 2019, cette dernière a été l’occasion d’acquérir non seulement des compétences techniques spécialisées, mais également des compétences plus transversales.
Au 1er janvier 2021, le Smic brut horaire augmente de 1,0 %. 2,04 millions de salariés du secteur privé bénéficient directement de cette revalorisation, soit 12,0 % des salariés, après 13,0 % un an plus tôt.
En 2020, leur nombre diminue pour la première fois depuis 2013 (-3,6 %), dans un contexte de crise sanitaire.
60 % des entrants en contrat de sécurisation professionnelle (CSP) mi-2018 ont accédé à un emploi dans les 18 mois suivant leur adhésion au dispositif, contre 54 % de ceux qui en avaient bénéficié trois ans plus tôt.
Depuis le début de la crise sanitaire, 1 050 plans de sauvegarde de l’emploi (PSE) ont été initiés prévoyant 106 500 ruptures de contrats (contre 2 647 PSE notifiés durant la crise de 2008-2009).
Cette étude analyse les retours des stagiaires sur la préparation, le déroulement, la qualité perçue, les apports et les suites de leur formation, en lien avec leur profil.
En 2018, 134 500 personnes sont inscrites à Pôle emploi suite à un licenciement économique (-7 % par rapport à 2017). Parmi elles, 71 400 bénéficient d’un d’accompagnement renforcé dans le cadre d’un contrat de sécurisation professionnelle (CSP) (-8 % sur un an).
Le comité scientifique Plan d’investissement dans les compétences (PIC) lance un appel à projet de recherche sur l’évaluation des programmes 100% inclusion.
À la veille de la revalorisation du 1er janvier 2020, moins de branches qu’un an auparavant présentent un premier niveau de grille inférieur au Smic en vigueur (16 % contre 22 %). En revanche, le nombre de salariés concernés par la non-conformité est inchangé à 8 %.