Former les demandeurs d'emploi à se former
- 17 décembre 2021
- Document d'études N°256
Cette étude propose une évaluation de l’impact du dispositif "Prépa compétences" sur l’entrée en formation et l’accès à l’emploi des demandeurs d’emploi.
48 résultats
Cette étude propose une évaluation de l’impact du dispositif "Prépa compétences" sur l’entrée en formation et l’accès à l’emploi des demandeurs d’emploi.
Pour une majorité des personnes en recherche d’emploi ayant suivi une formation en 2019, cette dernière a été l’occasion d’acquérir non seulement des compétences techniques spécialisées, mais également des compétences plus transversales.
Le comité scientifique d’évaluation du Plan d’investissement dans les compétences (PIC) a publié un premier rapport en octobre 2020 pour présenter le plan et ses enjeux. Ce deuxième rapport permet d’en faire un premier bilan, à mi-parcours d’un horizon de cinq ans.
Une discrimination à l’encontre des candidats d’origine maghrébine généralisée et persistante.
Pour approfondir la connaissance des discriminations à l’embauche, une expérimentation de grande ampleur a été menée par ISM Corum et l’Institut des politiques publiques (IPP), sous l’égide de la Dares.
Une personne en recherche d’emploi sur 10 inscrites en formation professionnelle en 2019 l’a abandonnée avant son terme.
Le redressement des fins de CDI mi-2021 tient principalement aux démissions, qui se situent en juin et en juillet 2021 respectivement 10,4 % et 19,4 % au-dessus des valeurs observées deux ans auparavant.
Six mois après la fin d’un contrat de professionnalisation entre 2017 et 2019, 75 % des personnes sont en emploi et 47 % en contrat durable (CDI, CDD de plus de six mois ou titulaire de la fonction publique) non aidé.
En 2020, 984 000 formations sont suivies dans le cadre du compte personnel de formation (CPF) contre 517 000 un an auparavant. Cette forte hausse s’explique par l’ouverture fin novembre 2019 du « parcours achat direct » (PAD).
Parmi les candidatures d’origine supposée maghrébine, les femmes reçoivent davantage de réponses positives que leurs homologues masculins (+10 %).