Évaluation et analyse coût-bénéfice du programme EMILE
- Le 20 décembre 2019
14 résultats
Elles ont augmenté de 3,4 % en euros constants par rapport à 2016 dans un contexte de croissance économique forte (+2,2 %) et de hausse des créations d’emplois dans le secteur marchand (+55 % par rapport à 2016).
La ségrégation professionnelle entre les femmes et les hommes et la concentration du temps partiel dans les métiers féminisés questionnent sur les rôles respectifs des facteurs liés à la demande et à l’offre de travail.
À la fin du 1er trimestre 2019, on dénombre 795 100 intérimaires en France, ce qui représente 3,1 % de l’ensemble des salariés.
29 % des bénéficiaires sont en emploi 8 mois après l’entrée en dispositif, 41 % au bout de 19 mois.
En 2013, dans un contexte de croissance économique modérée, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’élève à 31,2 milliards d’euros.
Plus que d’apporter une appréciation stabilisée des résultats du dispositif, l’objectif de ce rapport intermédiaire est de repérer déjà les marges d’amélioration possible en vue de la généralisation.
Un effort de formation qui bénéficie plus particulièrement aux non-diplômés et aux plus jeunes.
464 000 contrats aidés ont débuté en 2015, 347 000 dans le secteur non marchand et 117 000 dans le secteur marchand.