Les contrats uniques d'insertion et les emplois d’avenir. Une forte baisse des recrutements en 2017
- 29 novembre 2018
- Dares Résultats N°054
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Les entreprises de 1 à 9 salariés regroupent 20 % de l’emploi salarié concurrentiel (hors agriculture), soit 3 millions de salariés au 31 décembre 2016.
Le dispositif Soutien à l’Emploi des Jeunes en Entreprise (SEJE),communément appelé « Contrat jeunes en entreprise » (CJE), a fait l’objet de plusieurs modifications en 2006.
Au troisième trimestre de l’année, l’Éducation nationale a recruté un nombre important de contrats d’avenir.
En 2005, 2 380 embauches ont ouvert droit à une exonération au titre des Zones de Redynamisation Urbaine (ZRU).
En 2005, dans les 79 zones franches urbaines (ZFU) de France métropolitaine, 13 500 embauches ont donné lieu à une exonération spécifique de cotisations sociales, soit une progression de 13 % par rapport à 2004.
En juin 2005, 41,5 % des salariés des TPE étaient employés à temps partiel, sur un contrat à durée déterminée ou bénéficiant d’une aide ciblée de l’État.
En 2004, 96 500 habitants des zones urbaines sensibles (ZUS) ont accédé à un contrat aidé hors apprentissage, soit 12 % du total des entrants dans ces dispositifs en France métropolitaine.
Parmi les salariés embauchés en contrat nouvelles embauches (CNE) au mois d’octobre 2005, sept sur dix travaillaient encore dans la même entreprise au bout de six mois et cinq sur dix au bout de douze mois.
Entre juillet 2002 et décembre 2005, 269 500 jeunes ont été embauchés dans le cadre du dispositif « Soutien à l’emploi des jeunes en entreprise » ou « Contrat jeune en entreprise ».