Les contrats aidés en 2022
- 14 février 2024
- Dares Résultats N° 14
La baisse est plus marquée pour les jeunes (-40 %), même si ceux-ci restent, en 2022, les principaux bénéficiaires de ces dispositifs.
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La baisse est plus marquée pour les jeunes (-40 %), même si ceux-ci restent, en 2022, les principaux bénéficiaires de ces dispositifs.
Dans un contexte de reprise économique, les primes de participation, d'intéressement et l'abondement d'un plan d'épargne salariale versés par les entreprises du secteur privé non agricole à leurs salariés augmentent fortement. Leur montant est estimé à 24 milliards d'euros bruts en 2021.
En 2021, les entrées en contrat aidé progressent fortement, rompant avec quatre années consécutives de baisse. Leur nombre fait plus que doubler en un an, pour atteindre 185 200 sur l’année 2021.
En 2021, les entrées en contrat de professionnalisation s’établissent à 120 600 et augmentent pour la première fois depuis 2019 (+7 % sur un an).
En 2020, 9,5 millions de salariés ont accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou un plan d’épargne salariale.
En 2020, les entrées en contrats aidés continuent de diminuer mais sont davantage ciblées sur les jeunes dans le cadre du plan #1jeune1solution.
Les dépenses en faveur de l’emploi sont en légère hausse entre 2017 et 2019 (+0,7 % en euros constants), pour atteindre 144,1 milliards d’euros (soit 5,9 points de PIB).
En 2019, 9,3 millions de salariés ont accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou un plan d’épargne salariale.
En 2019, les entrées en contrats de professionnalisation s’établissent à 218 700 et diminuent pour la première fois depuis 2014 (-7,1 % sur un an).
Après une forte hausse en 2016 (+6,4 %), l'effort de formation reste stable en 2017 (-0,1 %). Rapportée au PIB, elle reste d’un ordre de grandeur similaire (1,1 % en 2017, contre 1,2 % en 2016).