Le travail en horaires atypiques en 2021
- 27 octobre 2022
- Dares Résultats N°52
10,4 millions de salariés et 2,7 millions de non-salariés travaillent en moyenne au moins une fois, sur une période de quatre semaines, en horaire atypique en 2021.
11 résultats
10,4 millions de salariés et 2,7 millions de non-salariés travaillent en moyenne au moins une fois, sur une période de quatre semaines, en horaire atypique en 2021.
Le travail du dimanche concerne 21 % des TPE en 2015, soit 226 000 entreprises sur un total de 1 062 000.
En 2015, en moyenne 7,9 % des demandeurs d’emploi présents en fin de mois sur les listes de Pôle emploi en catégories A, B, C sortent le mois suivant de ces catégories, qu’ils restent ou non inscrits sur les listes de Pôle emploi.
En moyenne sur l’année 2015, 4,2 millions de salariés, soit 18 % de l’ensemble des salariés, travaillent au moins un dimanche par mois que ce soit sur leur lieu de travail, à domicile ou ailleurs.
En 2008, le travail du dimanche concerne près de 6,5 millions de salariés, soit 28 % d’entre eux.
Les très petites entreprises (TPE) recourent davantage à des formes d’emploi à durée limitée ou à temps partiel et à des contrats aidés par l’État que leurs homologues de 10 salariés ou plus.
L'évolution du marché du travail, au cours de l'année 2001, reflète le ralentissement économique intervenu à partir d'avril.
De 1991 à 1998, les semaines irrégulières et le travail du samedi, qui avaient fortement augmenté au cours des années 1980, se sont stabilisés.
Début 1994, 55 % des Français croyaient en l'efficacité d'un développement du travail à temps partiel pour réduire le chômage et 42 % estimaient qu'une réduction généralisée pouvait créer des emplois.
Les horaires fixes sont en recul : ils concernaient 65 % des salariés en 1978, 59 % en 1984, 52 % en 1991.