Les jeunes en emploi d’avenir
- 5 octobre 2016
- Dares Analyses N°056
Un effort de formation qui bénéficie plus particulièrement aux non-diplômés et aux plus jeunes.
10 résultats
Un effort de formation qui bénéficie plus particulièrement aux non-diplômés et aux plus jeunes.
Au cours de l’année 2015, dans un contexte de rebond de la croissance économique et de gains de productivité toujours limités, le nombre de personnes en emploi s’est accru de 188 000 en France métropolitaine.
Un accès à la formation qui décroît dès 35 ans pour les ouvriers et les employés.
146 600 fin 2004, 128 100 fin 2005, le nombre de préretraités du secteur privé relevant d’un dispositif public a continué à diminuer. La baisse a été de 13 %, après une baisse de 7 % en 2004.
Trois quarts des jeunes embauchés début 1999 en emploi-jeune dans une collectivité locale, un établissement public ou une association et restés au moins deux années en poste ont occupé un emploi immédiatement après leur sortie du dispositif.
12,7 milliards d’euros ont été distribués en 2004 au titre de la participation, de l’intéressement et de l’abondement à un plan d’épargne entreprise.
Un sur deux travaille dans une petite entreprise, un sur quatre gagne plus de 1,3 SMIC horaire grâce à des compléments de salaire.
Parmi les 2 680 000 demandeurs d’emploi indemnisés par l’Assurance chômage ou le régime de solidarité de l’État, plus de 400 000 chômeurs de 55 à 64 ans bénéficiaient, à leur demande, d’une dispense de recherche d’emploi (DRE).
Dans le secteur des emplois familiaux, les salariés ont travaillé près de 650 millions d’heures en 2004, soit une progression de 4 % par rapport à l’année précédente.
En 2003, dans le secteur concurrentiel, près de 100 000 établissements de 20 salariés et plus étaient assujettis à la déclaration obligatoire d’emploi des travailleurs handicapés.