Comment les employeurs surmontent-ils leurs difficultés de recrutement ?
- 4 juillet 2019
- Dares Analyses N°032
Les employeurs considèrent que 17 % des recrutements réalisés entre septembre et novembre 2015 se sont avérés difficiles.
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Les employeurs considèrent que 17 % des recrutements réalisés entre septembre et novembre 2015 se sont avérés difficiles.
Fin 2015, 17 % des recrutements sont jugés difficiles a posteriori par les recruteurs, notamment en raison du manque de candidatures ou de l’inadéquation du profil des candidats.
20 % des établissements qui recrutent en contrat de plus d’un mois déclarent également avoir recours à des contrats plus courts – CDD d’un mois ou moins.
Les entreprises d’insertion se doivent de concilier deux logiques distinctes : porter un projet social, qui engendre des contraintes et des surcoûts, et assurer leur viabilité économique.
En 2009, dans un contexte de grave crise économique, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 31,3 milliards d’euros, soit 4,1 % de plus qu’en 2008.
En 2010, 107 800 personnes sont entrées en CRP ou en CTP, effectif en diminution par rapport aux 137 600 adhésions de 2009, en pleine crise économique et financière.
Près de 480 000 ruptures conventionnelles ont été dénombrées en France métropolitaine de mi-2008 à fin 2010.
Entre 2007 et 2008, le nombre moyen de salariés en insertion travaillant dans les structures de l’insertion par l’activité économique a progressé de 5 %, passant de 107 000 à 112 000.
En 2009, la hausse du nombre de demandeurs d’emploi a résulté d’une forte augmentation des entrées sur les listes de Pôle emploi, conjuguée à de moindres sorties pour reprise d’emploi.
En 2006, 253 000 salariés en insertion ont été embauchés ou mis à disposition par une des 5 300 structures d’insertion par l’activité économique.