Les contrats uniques d’insertion et les emplois d’avenir en 2014
- 3 septembre 2015
- Dares Analyses N°064
413 000 contrats aidés ont débuté en 2014, 338 000 dans le secteur non marchand et 75 000 dans le secteur marchand.
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413 000 contrats aidés ont débuté en 2014, 338 000 dans le secteur non marchand et 75 000 dans le secteur marchand.
Le prix Nobel d'économie est attribué à David Card, spécialiste de l'économie expérimentale, pour ses contributions empiriques à l'économie du travail. Retrouvez son article dédié à l’évaluation des politiques actives du marché du travail, paru dans la revue Travail et Emploi.
Au 3e trimestre 2014, pour les établissements de 1 salarié ou plus, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, s’établit à 15,0 %.
Ces déclarations permettaient de suivre les mouvements de main-d'œuvre générés par les recrutements et les départs des établissements.
Dans les établissements de 1 salarié ou plus de France métropolitaine, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, est de 50,2 % en 2011.
Dans le cadre du plan d’urgence pour l’emploi des jeunes, les employeurs ont pu bénéficier d’une prime de 3000 euros pour l’embauche de jeunes stagiaires en contrat à durée indéterminée, lorsque la date d’embauche était comprise entre fin avril 2009 et fin juin 2010.
En 2005, 247 000 personnes ont accédé à un contrat d’accompagnement dans l’emploi (CAE), un contrat d’avenir, un contrat d’insertion-revenu minimum d’activité (CI-RMA) ou un « nouveau » contrat initiative emploi (CIE).
Signe d’une meilleure conjoncture, au troisième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim progresse à nouveau très légèrement pour le deuxième trimestre consécutif.
Les très petites entreprises (TPE) recourent davantage à des formes d’emploi à durée limitée ou à temps partiel et à des contrats aidés par l’État que leurs homologues de 10 salariés ou plus.