L'emploi intérimaire
- 10 décembre 2023
Depuis mai 2018, les données relatives à l'emploi intérimaire sont obtenues via la Déclaration sociale nominative (DSN).
31 résultats
Depuis mai 2018, les données relatives à l'emploi intérimaire sont obtenues via la Déclaration sociale nominative (DSN).
L’emploi intérimaire rebondit au 3e trimestre 2022 (+1,9 %, soit +14 900 intérimaires), après deux trimestres consécutifs de baisse (-2,3 %, soit -18 700 intérimaires au 2e trimestre 2022 et -1,9 %, soit -15 900 intérimaires au 1er trimestre).
La Dares et l’Association Française des Managers de la Diversité (AFMD) ont organisé une webconférence pour rendre compte de la mise en œuvre de l’Index de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes trois ans après son entrée en vigueur.
Après un recul historique lors du 1er trimestre 2020, un rebond marqué au cours de l’année 2020 et un ralentissement début 2021, l’emploi intérimaire poursuit sa reprise au 3e trimestre 2021 (+1,6 %, soit +12 100 intérimaires).
Après un recul historique en début d’année et un début de reprise au 2e trimestre, l’emploi intérimaire continue à se redresser au 3e trimestre 2020 (+22,8 %, soit +131 600 intérimaires, après +22,9 % soit +107 800 au trimestre précédent).
Cet article propose d’étudier l’évolution de la mobilité domicile-travail des actifs lyonnais depuis vingt ans (distance domicile-travail parcourue et usage de la voiture pour aller au travail) et de déterminer si l’évolution des indicateurs de mobilité est davantage imputable à une modification de comportements des actifs ou à un changement structurel des caractéristiques de ces derniers.
L’emploi intérimaire diminue de nouveau légèrement au 3e trimestre 2019 (-0,4 %, soit -2 900 intérimaires, comme au trimestre précédent).
Au 3e trimestre 2018, l’emploi intérimaire diminue de nouveau (-1,2 % soit -9 600 intérimaires, après -0,6 % au trimestre précédent soit -4 700).
L’emploi intérimaire se modère au 3e trimestre 2017 (+1,5 % soit +10 900 intérimaires, après +4,2 % au trimestre précédent).
Les écarts de salaires femmes-hommes sont très différents d’une zone d’emploi à l’autre (1,6 % à 26,9 % en faveur des hommes en 2010).