L'insertion par l'activité économique en 2013
- 29 juin 2015
- Dares Analyses N°046
En 2013, 127 600 salariés en insertion ont travaillé dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), en moyenne chaque mois.
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En 2013, 127 600 salariés en insertion ont travaillé dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), en moyenne chaque mois.
44 % des personnes embauchées dans les structures de l’insertion par l’activité économique (SIAE) ont trouvé leur emploi par leurs propres moyens ou par le bouche à oreille.
Les objectifs régionaux d’embauches en contrats aidés sont très encadrés au niveau national, mais leur pilotage est largement territorialisé et leur mise en oeuvre est le fait des services déconcentrés du ministère chargé de l’emploi.
En 2006, 253 000 salariés en insertion ont été embauchés ou mis à disposition par une des 5 300 structures d’insertion par l’activité économique.
Les anciens salariés des EI se réinsèrent plus difficilement que ceux des AI ou ETTI, ils sont majoritairement au chômage au sortir de la structure.
À partir de 1999, la territorialisation s'élargit et devient une démarche stratégique des politiques de l'emploi.
En 2001, les politiques de l’emploi ont contribué, par le jeu d’incitations ou de dispositions contraignantes, au développement d’activités exercées de façon temporaire (et/ou à temps partiel) par des chômeurs.
En 1996, le suivi d’une cohorte de chômeurs dans huit zones d’emploi montre que si l’âge, la qualification et le sexe demeurent fortement discriminants dans le processus d’insertion ou de réinsertion professionnelle, l’importance de ces facteurs varie selon le marché local de l’emploi.
Les évolutions de l’emploi et du chômage observées au cours du premier trimestre de 1998 prolongent celles relatives au trimestre précédent, confirmant ainsi l’amélioration de la situation du marché du travail.
Au début de 1997, les Français restent pessimistes quant à l'avenir de l'emploi, même si leur inquiétude vis-à-vis du chômage s'est légèrement atténuée. La crainte du chômage a cependant crû cette année chez les cadres supérieurs et les professions libérales.