L'emploi intérimaire au 2e trimestre 2005
- 15 novembre 2005
- Dares Indicateurs N°46.1
À la fin du deuxième trimestre 2005, 592 000 salariés sont intérimaires, soit 3 000 de plus qu’au trimestre précédent (+0,5 %).
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À la fin du deuxième trimestre 2005, 592 000 salariés sont intérimaires, soit 3 000 de plus qu’au trimestre précédent (+0,5 %).
À la fin du premier trimestre 2005, on dénombre 590 000 intérimaires, soit 3 000 de plus qu’au trimestre précédent (+ 0,4 %).
En 2004, le volume de l’intérim atteint 569 300 équivalents-emplois temps plein, une augmentation de 2,6 % par rapport à 2003, soit +14 000 équivalents-emploi temps plein.
La convention d’assurance-chômage a instauré en juillet 2001 le Programme d’Aide au Retour à l’Emploi (PARE).
Avec 585 000 équivalents-emplois à temps plein au quatrième trimestre 2004, l’intérim crée 15 000 postes (+2,5 %), poursuivant ainsi la hausse entamée depuis le deuxième trimestre 2004.
Entre 1992 et 2002, le travail intérimaire se développe dans l’industrie, ce qui réduit la chute de l’emploi dans ce secteur.
En 2002, l’effort de la nation en matière de formation professionnelle et d’apprentissage s’amenuise encore : avec 1,43 % de la richesse nationale, il retrouve un niveau proche de celui de 1988.
Avec 568 000 équivalents-emplois à temps plein au troisième trimestre 2004, l’intérim crée 5 000 postes (+0,8%), poursuivant ainsi la hausse entamée au trimestre dernier (+6 000 postes, soit +1 %).
Né de la pratique des entreprises dans les années 1980, le bilan de compétences est devenu un droit suite à la loi du 31 décembre 1991 sur la formation professionnelle.
Les principaux bénéficiaires de ces prestations sont les femmes, les cadres et les employés et, de manière plus générale, les plus diplômés.