Analyse économique des liens entre l’épargne salariale et les politiques de rémunération
- Le 15 novembre 2013
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En 2011, 56,5 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,8 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
La dépense pour l'emploi, y compris les allègement généraux, s'élève à 76, 4 milliards d'euros en 2006.
La loi du 1er décembre 2008 généralisant le revenu de solidarité active (RSA) et réformant les politiques d’insertion a réorganisé l’ensemble du processus visant à orienter et à accompagner dans un parcours d’insertion les personnes bénéficiaires du RSA.
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail, ciblées ou générales, sont estimées à 90,8 milliards d’euros (Md€) en 2010, soit 4,7 points de PIB.
En 2010, 57,3 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,8 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail, ciblées ou générales, sont estimées à 87 milliards d’euros (Md€) en 2009, soit 4,6 points de PIB.
Du milieu des années soixante-dix jusqu’à ces dernières années quatre-vingt-dix, la croissance du PIB en France a été non seulement ralentie mais également marquée par d’importantes fluctuations conjoncturelles.
Avec 139,9 milliards de francs, la dépense pour la formation professionnelle augmente pour la seconde année consécutive.
L’emploi salarié à temps partiel a cessé de progresser au cours de l’année 1998. En janvier 1999, il représentait 17,7 % des emplois salariés du secteur privé.