Les dispositifs d'accompagnement des restructurations en 1998
- 19 septembre 1999
- Dares Indicateurs N° 38.1
En 1998, environ 130 000 personnes ont bénéficié d’un des dispositifs de reclassement accompagnant une restructuration.
11 résultats
En 1998, environ 130 000 personnes ont bénéficié d’un des dispositifs de reclassement accompagnant une restructuration.
En 1997, 5,5 millions de salariés étaient couverts par l’un des deux systèmes de partage des bénéfices que sont la participation et l’intéressement.
Après une relative stagnation au début de la décennie, la proportion des salariés au SMIC a bénéficié des fortes revalorisations du SMIC de juillet 1995 et de juillet 1997, qui ne se sont pas intégralement diffusées aux autres salariés.
Cette enquête vise à avoir des données sur la participation, l’intéressement et l’épargne d’entreprise. Elle appartient au dispositif d’enquêtes sur l’Activité et les conditions d’emploi de la main d'œuvre (Acemo).
Pour la deuxième année consécutive, on a enregistré en 1997 une augmentation du nombre des demandes de licenciement de représentants du personnel présentées aux inspecteurs du travail par les employeurs.
Après 1989 où la dépense pour l'emploi (DPE) avait diminué de 3 % en francs constants, les années 1990 et 1991 enregistrent chacune une augmentation de près de 5 % de la DPE.
Les résultats de l'année 1991 sont peu différents de ceux des années précédentes. La proportion de primes dans la rémunération brute globale est voisine pour les différentes catégories socioprofessionnelles. Elle s'élève en moyenne à 14,5 %.
Environ 127 000 personnes sont entrées dans des dispositifs d'accompagnement des restructurations, y compris les préretraites, soit une augmentation de 45 % en 1991.
Après plusieurs années de forte diffusion des accords d'intéressement, un salarié sur six était concerné en 1990. La prime moyenne par bénéficiaire était de 4 000 F. Les premières estimations pour 1991 indiquent une baisse du nombre d'accords en vigueur.
Les salariés au SMIC représentaient 8,6 % de l'ensemble des salariés au 1er juillet 1991 contre 10,9 % au 1er juillet 1990.