Journée d'étude sur l'enquête Ofer
- Le 29 novembre 2007
20 résultats
En 2005, le chiffre d’affaires des organismes de formation professionnelle continue s’est stabilisé à 5,4 milliards d’euros, soit 0,9 % de moins qu’en 2004.
25,9 milliards d’euros, tel est le montant de la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage en 2005. L’effort de formation de la nation reste stable, à 1,5 % du PIB.
La dispersion des salaires nets des salariés à temps complet du secteur privé hors intérim a légèrement diminué entre 1996 et 2004.
Dans le secteur des services à la personne, les salariés ont travaillé en 2005 680 millions d’heures au domicile de particuliers, soit une progression de 5 % en un an.
En juillet 2006, la hausse du SMIC horaire a touché 15,1 % des salariés des entreprises non agricoles et hors secteur de l’intérim. Ont ainsi bénéficié de cette revalorisation 2 270 000 personnes, hors apprentis, dont 970 000 à temps partiel.
La dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage a augmenté de 2,4 % en 2004, portant sa hausse à 8,1 % depuis 1999.
Le rapport sur « Les métiers en 2015 » s’inscrit dans la lignée des travaux réalisés depuis 1997 par le groupe « Prospective des métiers et qualifications ». Lancé par Claude Seibel, alors président du groupe, ce document constitue l’achèvement d’un cycle de travaux.
Il n’est pas toujours aisé pour un employeur de recruter un salarié. En cas de difficulté, soit l’employeur est parvenu à la surmonter et a tout de même réussi à recruter, soit il n’a pas effectué le recrutement, la procédure ayant été abandonnée ou suspendue.
Lorsque les établissements recrutent, c’est le plus souvent pour remplacer un salarié et les embauches se concrétisent dans un délai assez court. Les candidatures spontanées reçues par l’établissement sont à l’origine de près du quart des recrutements.