Journée d'étude sur l'enquête Ofer
- Le 29 novembre 2007
37 résultats
En 2005, le chiffre d’affaires des organismes de formation professionnelle continue s’est stabilisé à 5,4 milliards d’euros, soit 0,9 % de moins qu’en 2004.
25,9 milliards d’euros, tel est le montant de la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage en 2005. L’effort de formation de la nation reste stable, à 1,5 % du PIB.
Au troisième trimestre de l’année, l’Éducation nationale a recruté un nombre important de contrats d’avenir.
En 2005, 14 % des entreprises de 10 salariés et plus ont engagé des négociations collectives. Ce taux est proche de 50 % dans les entreprises de 50 salariés et plus.
En juin 2005, 41,5 % des salariés des TPE étaient employés à temps partiel, sur un contrat à durée déterminée ou bénéficiant d’une aide ciblée de l’État.
En 2004, l’activité des organismes de formation professionnelle continue a poursuivi sa progression (+9,1%). Après une réduction en 2003, le nombre de prestataires a augmenté (+2,1 %) et le nombre de stagiaires s’est également accru (+6,7%).
En 2004, 96 500 habitants des zones urbaines sensibles (ZUS) ont accédé à un contrat aidé hors apprentissage, soit 12 % du total des entrants dans ces dispositifs en France métropolitaine.
Les salariés en contrat court, c’est-à-dire en contrat à durée déterminée (CDD) ou en intérim, sont préoccupés par la précarité de leur emploi, et notamment par le risque de se retrouver au chômage.
À partir du 29 juillet 1998, le contrat emploi consolidé (CEC) a été ouvert aux personnes en difficulté d’insertion qui ne sont pas passées préalablement par un contrat emploi-solidarité (CES).