Journée d'étude sur l'enquête Ofer
- Le 29 novembre 2007
13 résultats
25,9 milliards d’euros, tel est le montant de la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage en 2005. L’effort de formation de la nation reste stable, à 1,5 % du PIB.
Dans le secteur de l’insertion par l’activité économique, le nombre d’associations intermédiaires, d’entreprises d’insertion et d’entreprises de travail temporaire d’insertion s’élevait à 1 800 fin 2005, auxquelles se rajoutent 3 300 ateliers et chantiers d’insertion.
En 2005, 14 % des entreprises de 10 salariés et plus ont engagé des négociations collectives. Ce taux est proche de 50 % dans les entreprises de 50 salariés et plus.
Dans le secteur des services à la personne, les salariés ont travaillé en 2005 680 millions d’heures au domicile de particuliers, soit une progression de 5 % en un an.
En 2005, 260 400 nouveaux contrats d’apprentissage ont été enregistrés dans le secteur marchand. La hausse a été de près de 6 % en un an, une progression comparable à celle de 2004.
La conflictualité du travail s’est intensifiée au cours de la dernière décennie.
En 1998, quatre enquêtes simultanées auprès des établissements utilisateurs de dispositifs de la politique de l’emploi permettent de mieux cerner les logiques d’utilisation de l’apprentissage, du contrat de qualification, du contrat initiative emploi et de l’exonération pour l’embauche d’un premier salarié.
Avec une hausse de près de 9 % par rapport à 1996, l’essor des contrats de formation en alternance se poursuit en 1997.
En 1997, après une période de croissance exceptionnelle, le nombre de ménages employant un salarié à leur domicile continue d’augmenter.