Journée d'étude sur l'enquête Ofer
- Le 29 novembre 2007
20 résultats
25,9 milliards d’euros, tel est le montant de la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage en 2005. L’effort de formation de la nation reste stable, à 1,5 % du PIB.
Dans le secteur de l’insertion par l’activité économique, le nombre d’associations intermédiaires, d’entreprises d’insertion et d’entreprises de travail temporaire d’insertion s’élevait à 1 800 fin 2005, auxquelles se rajoutent 3 300 ateliers et chantiers d’insertion.
En 2005, 14 % des entreprises de 10 salariés et plus ont engagé des négociations collectives. Ce taux est proche de 50 % dans les entreprises de 50 salariés et plus.
Dans le secteur des services à la personne, les salariés ont travaillé en 2005 680 millions d’heures au domicile de particuliers, soit une progression de 5 % en un an.
En 2005, 260 400 nouveaux contrats d’apprentissage ont été enregistrés dans le secteur marchand. La hausse a été de près de 6 % en un an, une progression comparable à celle de 2004.
La conflictualité du travail s’est intensifiée au cours de la dernière décennie.
Lancé au mois de décembre 1994, pour une période expérimentale d'un an, le chèque-emploi-service recouvre le même champ que le dispositif d'incitation à la création d'emplois familiaux mis en œuvre en 1992.
Interrogées en 1994 et 1995, les entreprises déclarent qu'elles pourraient accueillir, et ce uniquement si certaines conditions étaient effectivement réalisées, environ 700 000 jeunes en alternance en plus des 450 000 qu'elles emploient déjà.
En moyenne, 20 % environ des contrats en alternance sont rompus avant leur terme. Ce taux varie d'environ 16 % pour les contrats d'adaptation à un maximum de 25 % pour les contrats d'apprentissage. Plus des trois quarts des ruptures de contrat interviennent au-delà du deuxième mois.