Conjoncture de l'emploi et du chômage au 4e trimestre 2007
- 8 avril 2008
- Dares Analyses N°16.2
Au 4e trimestre 2007, la croissance du PIB s’est limitée à +0,4 %, après +0,8 % au 3ème trimestre.
30 résultats
Au 4e trimestre 2007, la croissance du PIB s’est limitée à +0,4 %, après +0,8 % au 3ème trimestre.
Malgré la faiblesse du nombre de leurs adhérents, les organisations syndicales sont assez largement présentes sur les lieux de travail.
Cette enquête pour objectif de comprendre les motivations qui conduisent certains salariés licenciés économiques à refuser les dispositifs d’accompagnement renforcé, de décrire l’accompagnement dispensé, d'analyser la situation professionnelle entre 13 et 18 mois après l’inscription à l’ANPE.
À la fin du troisième trimestre 2007, 659 800 salariés sont intérimaires, soit -4 800 par rapport au trimestre précédent. Après la hausse très forte du premier trimestre 2007 (+6,9 %), l’emploi intérimaire se rétracte légèrement (-0,7 %), comme au deuxième trimestre.
Une opération de testing sur les discriminations à l'embauche des jeunes Français peu qualifiés d’origine apparente maghrébine ou noire africaine.
Au 3e trimestre 2007, la croissance du PIB a rebondi à +0,7 %. Ce rebond de l’activité s’est accompagné de créations d’emplois toujours dynamiques dans le secteur marchand : +59 000, après +65 000 au 2e trimestre.
De 1998 à 2001, la croissance forte de l'emploi avait mis au premier plan de l'actualité le thème des difficultés de recrutement. Depuis, le chômage s'est accru : le taux de chômage au sens du BIT est passé de 8,6 % en mars 2001 à 9,9 % en décembre 2003.
Avec 562 000 équivalents-emplois à temps plein au deuxième trimestre 2004, l'intérim crée 5 000 postes, et compense ainsi la baisse du trimestre dernier (-4 000 postes).
En 2003, plus de 8 % des salariés (7,5 % des femmes et 9 % des hommes) sont syndiqués. C'est deux fois moins qu'il y a vingt-cinq ans.
À l'intérieur des entreprises, la présence syndicale repose encore souvent aujourd'hui sur des militants en majorité masculins, ce qui limite, de fait, la capacité des syndicats à assurer la mixité des listes en vue des élections.