Le chômage partiel en baisse de 2,3 % en 2003
- 12 novembre 2004
- Dares Indicateurs N°47.1
En 2003, 2,56 millions de journées de chômage partiel, concernant 220 000 salariés, ont été autorisées en France métropolitaine.
15 résultats
En 2003, 2,56 millions de journées de chômage partiel, concernant 220 000 salariés, ont été autorisées en France métropolitaine.
À l'intérieur des entreprises, la présence syndicale repose encore souvent aujourd'hui sur des militants en majorité masculins, ce qui limite, de fait, la capacité des syndicats à assurer la mixité des listes en vue des élections.
En 2002, les plus de 50 ans représentent 14 % des entrées en contrats emploi-solidarité (CES), 29 % en contrats emploi consolidé (CEC) et 26 % en contrats initiative emploi (CIE).
De 1992 à 2002, la place des femmes dans les professions s'est renforcée, en particulier dans celles à dominante masculine.
Le travail est physiquement moins pénible pour les salariés âgés, mais leurs conditions de travail se dégradent comme celles des plus jeunes entre 1984 et 1998.
En 2001, la dépense globale de la Nation en faveur de la formation professionnelle et de l’apprentissage augmente de 1,8 % par rapport à l’année précédente et atteint près de 22 milliards d'euros.
Pour la première fois depuis presque 10 ans, le nombre de personnes relevant d'un dispositif public de préretraite est inférieur à 200 000 : fin 2002, elles ne sont plus que 181 500, soit 11,3 % de moins en un an.
Grâce à la forte augmentation du nombre des jeunes quinquagénaires (50-54 ans) et à l’arrivée aux âges élèves de génération de femmes plus actives que dans le passé, le taux d’emploi des 50-59 ans augmente de 6 points entre 1990 et 2000.
Le maintien d’une conjoncture économique favorable en 2000 s’est traduit par un nouveau recul du recours au chômage partiel.
138 000 contrats initiative emploi (CIE) ont été signés en 2000 en France métropolitaine, contre 160 000 en 1999 et 200 000 en 1998.