Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2015
- 9 novembre 2017
- Dares Résultats N°072
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail s’élèvent à 122 milliards d’euros (Md€) en 2015, soit 5,6 points de PIB.
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Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail s’élèvent à 122 milliards d’euros (Md€) en 2015, soit 5,6 points de PIB.
Créées en plein coeur de la Grande Récession, les entreprises Airbnb et Uber sont devenues en quelques années des start-up mondiales, symboles de l’essor d’une « nouvelle économie ».
En 2014, dans un contexte de croissance économique modérée, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’élève à 31,6 milliards d’euros.
Le rapport souligne la lenteur de la montée en charge du dispositif Rsa activité seul et la nécessité de diminuer le taux élevé de non-recours observé deux ans après sa mise en œuvre si l'on veut parvenir aux objectifs initialement visés.
« D’après vous, parmi les caractéristiques suivantes, quelles sont celles qui vous définissent le mieux ? ». C’est en choisissant au plus quatre caractéristiques parmi une liste de quinze que les personnes interrogées dans l’enquête Trajectoires et Origines (TeO) étaient invitées à définir leur identité.
En 2009, dans un contexte de grave crise économique, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 31,3 milliards d’euros, soit 4,1 % de plus qu’en 2008.
Les personnes ayant obtenu un premier titre de séjour d’au moins un an en 2006 ont souvent mobilisé leurs réseaux de relations personnels et familiaux pour s’insérer sur le marché du travail après leur arrivée en France.
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail, ciblées ou générales, sont estimées à 78 milliards d’euros (Md€) en 2008, soit 4,0 points de PIB.
La dépense pour l'emploi (DPE) s'élève en 1988 à 200,1 milliards de francs, en augmentation de 3,9 % en francs courants, et de 1,1 % en francs constants par rapport à l'année précédente.
63 % des embauches ont concerné des hommes, ce qui traduit une légère déformation de la structure par sexe de l'emploi salarié dans le tertiaire marchand et le BTP, qui comprendrait 59 % d'hommes. Plus de quatre salariés sur cinq ont moins de 40 ans et deux sur cinq moins de 25 ans.