Le poids du temps partiel dans les trajectoires professionnelles des femmes
- 9 août 2007
- Document d'études N°127
En 1985 une femme active occupée sur cinq déclarait travailler à temps partiel, contre une sur trois en 2005.
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En 1985 une femme active occupée sur cinq déclarait travailler à temps partiel, contre une sur trois en 2005.
Au 1er trimestre de 2007, le PIB a progressé à un rythme comparable à celui du trimestre précédent (+0,5 %).
En 2006, le volume de l’intérim atteint 602 800 équivalents-emplois à temps plein et se rapproche ainsi de son plus haut niveau (604 300), atteint en 2000.
Comparaison du taux de recours à l’intérim selon plusieurs sources.
En juin 2005, 41,5 % des salariés des TPE étaient employés à temps partiel, sur un contrat à durée déterminée ou bénéficiant d’une aide ciblée de l’État.
Au 4e trimestre de 2006, la croissance du PIB est repartie à la hausse (+0,6 %), après la stagnation du trimestre précédent (0,0 %).
En 2004, 96 500 habitants des zones urbaines sensibles (ZUS) ont accédé à un contrat aidé hors apprentissage, soit 12 % du total des entrants dans ces dispositifs en France métropolitaine.
Les salariés en contrat court, c’est-à-dire en contrat à durée déterminée (CDD) ou en intérim, sont préoccupés par la précarité de leur emploi, et notamment par le risque de se retrouver au chômage.
En 2002, seulement 15 % des femmes qui travaillent dans une entreprise de 10 salariés ou plus sont cadres, contre 23 % des hommes. Lorsqu’elles sont cadres, les femmes perçoivent, en moyenne, un salaire horaire 20 % inférieur à celui de leurs homologues masculins.
À partir du 29 juillet 1998, le contrat emploi consolidé (CEC) a été ouvert aux personnes en difficulté d’insertion qui ne sont pas passées préalablement par un contrat emploi-solidarité (CES).