L'offre de formation continue en 2005
- 23 novembre 2007
- Dares Résultats N°48.1
En 2005, le chiffre d’affaires des organismes de formation professionnelle continue s’est stabilisé à 5,4 milliards d’euros, soit 0,9 % de moins qu’en 2004.
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En 2005, le chiffre d’affaires des organismes de formation professionnelle continue s’est stabilisé à 5,4 milliards d’euros, soit 0,9 % de moins qu’en 2004.
Depuis juillet 2002, le « contrat jeunes en entreprise » (CJE) subventionne l’embauche de jeunes peu qualifiés dans le secteur marchand.
Le dispositif Soutien à l’Emploi des Jeunes en Entreprise (SEJE),communément appelé « Contrat jeunes en entreprise » (CJE), a fait l’objet de plusieurs modifications en 2006.
25,9 milliards d’euros, tel est le montant de la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage en 2005. L’effort de formation de la nation reste stable, à 1,5 % du PIB.
Le ratio des offres d’emploi sur les demandes d’emploi enregistrées à l’ANPE augmente au 2ème trimestre 2007 (0,73 contre 0,70 au 1er trimestre), ce qui résulte essentiellement d’une baisse des nouvelles inscriptions de demandeurs d’emploi (-2,3 % par rapport au trimestre précédent).
La dispersion des salaires nets des salariés à temps complet du secteur privé hors intérim a légèrement diminué entre 1996 et 2004.
Le nombre d’offres d’emplois déposées par les employeurs à l’ANPE reste bien orienté au 1ertrimestre 2007 : +2,5 % par rapport au 4e trimestre 2006, et +5,4 %sur un an.
Le ratio des offres d’emplois sur les demandes d’emplois enregistrées à l’ANPE diminue légèrement au 4ème trimestre 2006 : -1,3 % par rapport au trimestre précédent en données CVS , -3,1 % en un an.
En juillet 2006, la hausse du SMIC horaire a touché 15,1 % des salariés des entreprises non agricoles et hors secteur de l’intérim. Ont ainsi bénéficié de cette revalorisation 2 270 000 personnes, hors apprentis, dont 970 000 à temps partiel.
En 2005, la moitié des jeunes de 15 à 29 ans sont actifs, 42 % d’entre eux étant en emploi et 9 % au chômage, selon les normes du Bureau International du Travail (BIT). L’autre moitié poursuit des études sans travailler.