Les statistiques du marché du travail
- 25 avril 2024
Les statistiques du marché du travail (STMT) portent sur les demandeurs d’emploi inscrits à France Travail (ex-Pôle emploi) et sur les offres d’emploi confiées par les employeurs à France Travail.
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Les statistiques du marché du travail (STMT) portent sur les demandeurs d’emploi inscrits à France Travail (ex-Pôle emploi) et sur les offres d’emploi confiées par les employeurs à France Travail.
En mars 2024, on compte 5 391 900 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail en catégorie A, B, C en France (-0,2 % sur un mois) et 5 115 600 en France métropolitaine (-0,2 %).
Au 1e trimestre 2024, on compte 5 400 500 d'emploi inscrits à France Travail en catégorie A, B, C en France (+0,0 % sur un trimestre) et 5 124 300 en France métropolitaine (+0,1 %).
Les principales données au 1er trimestre 2024, en France, par région et par département, en un clin d’œil : effectifs, variations et évolutions à 3 et 12 mois, détail par catégorie, sexe et tranche d'âge, motifs d’entrée et de sortie des listes, ancienneté d'inscription…
En 2018, 16 % des travailleurs, soit 4,3 millions d’individus, perçoivent un revenu d’activité inférieur à 60 % du revenu d’activité médian de l’ensemble des travailleurs, soit moins de 1 097 euros mensuels nets.
En 2018, 79 % du revenu d’activité net moyen des travailleurs à bas revenus est composé de salaires, tandis que les aides au retour à l’emploi (ARE) et les revenus d’activité indépendante y contribuent respectivement à hauteur de 11 % et 10 %.
En 2022, 2,4 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole (employant 25 % des salariés de ce champ) connaissent un ou plusieurs arrêts collectifs de travail. Cette proportion augmente nettement, de 0,8 point, par rapport à 2021.
6 371 000 embauches, 544 900 démissions, 230 400 licenciements et 297 800 fins de période d’essai, au 4e trimestre 2023 en France métropolitaine.
Au 4e trimestre 2023, en France métropolitaine, 6 371 000 contrats de travail sont signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), soit 0,3 % de moins qu’au trimestre précédent (après +0,1 % au 3e trimestre 2023).
Le marché de l'emploi français subit des secousses post-crise, avec une augmentation significative des ruptures de contrats à durée indéterminée (CDI) pendant la période d'essai.