Les conditions de travail des non-salariés en 2005
- 7 décembre 2009
- Dares Analyses N°50.1
En 2005, 2,7 millions d’actifs occupés étaient non salariés parmi lesquels 600 000 exploitants agricoles et 250 000 aides familiaux.
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En 2005, 2,7 millions d’actifs occupés étaient non salariés parmi lesquels 600 000 exploitants agricoles et 250 000 aides familiaux.
En 2007, le rythme de croissance des embauches exonérées dans les zones de revitalisation rurale (ZRR) ralentit : près de 13 000 salariés ont été embauchés, soit une hausse de 11 % après 31 % entre 2005 et 2006.
Portée à 28,4 milliards d’euros en 2007, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage a progressé de 4,9 % par rapport à 2006.
En 2007, le secteur de la formation continue a poursuivi sa forte croissance, réalisant un chiffre d’affaires de 6,4 milliards d’euros, soit 7 % de plus qu’en 2006.
Le passage d’un métier à un autre n’est pas un évènement rare pour la population française en emploi : près de 30 % des personnes en emploi en 1998 ont évolué vers un autre métier en 2003.
Il n’est pas toujours aisé pour un employeur de recruter un salarié. En cas de difficulté, soit l’employeur est parvenu à la surmonter et a tout de même réussi à recruter, soit il n’a pas effectué le recrutement, la procédure ayant été abandonnée ou suspendue.
Lorsque les établissements recrutent, c’est le plus souvent pour remplacer un salarié et les embauches se concrétisent dans un délai assez court. Les candidatures spontanées reçues par l’établissement sont à l’origine de près du quart des recrutements.
L’enquête visait à obtenir des informations sur le déroulement des procédures des millions de recrutements qui ont lieu chaque année.
L’analyse des réponses jusqu’à mars 2003 montre que le CIE est efficace du point de vue du retour à l’emploi et de l’amélioration du niveau de vie, alors que les CES et les SIFE n’améliorent pas la situation des bénéficiaires par rapport aux trajectoires des témoins.
En 2003, l’activité des organismes de formation continue reste soutenue : leur chiffre d’affaires progresse de 10 % et le nombre de stagiaires de 9 %. Les entreprises et les pouvoirs publics apportent deux tiers des financements.