Les attitudes des Français à l'égard du chômage, de son indemnisation et des politiques d'emploi au début 1998
- 5 septembre 1998
- Dares Résultats N°39.2
Au début de 1998, les Français sont moins pessimistes face au chômage et à ses évolutions.
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Au début de 1998, les Français sont moins pessimistes face au chômage et à ses évolutions.
Le taux de participation aux élections des comités d’entreprise a diminué de 0,5 point entre 1994 et 1996.
9 % des salariés seraient exposés pendant leur travail à des produits estimés cancérogènes pour l'homme.
En 1994, dans les industries agricoles et alimentaires, les ouvriers sont, plus fréquemment que dans les autres industries, exposés à des conditions de pénibilité.
Depuis 1985, l’enquête CREDOC sur les « Conditions de vie et aspirations des Français » permet de suivre l’opinion des Français sur le chômage et les politiques de l’emploi.
En 1997, près de six femmes au foyer sur dix déclarent qu’elles aimeraient avoir un emploi.
L'enquête visait à obtenir une description concrète du travail, de son organisation et de ses conditions selon divers angles : horaires, rythmes de travail, efforts physiques ou risques encourus, pénibilité, organisation du travail, sécurité, coopération, conflits…
Plus d'un million de salariés sont exposés dans leur travail aux agents biologiques.
L'automne 1990 marque un retour du pessimisme sur l'évolution du chômage. Les trois quarts des personnes interrogées estiment que le nombre de chômeurs va augmenter. Il faut remonter quatre années en arrière pour retrouver des perspectives aussi sombres.
A peu près 1,7 million de salariés ont voté en 1990, soit 65 % des électeurs inscrits. La participation diminue de 1,9 point contre 1,2 entre 1986 et 1988. En huit ans (de 1982 à 1990), elle a baissé de six points.