Journée d'étude sur l'enquête Ofer
- Le 29 novembre 2007
8 résultats
Les emplois à temps partiel ne constituent pas une catégorie homogène.
En 2005, la part des salariés à temps partiel a plus que doublé par rapport au début des années quatre-vingt : 18 % contre 8 %.
La dispersion des salaires nets des salariés à temps complet du secteur privé hors intérim a légèrement diminué entre 1996 et 2004.
En 1985 une femme active occupée sur cinq déclarait travailler à temps partiel, contre une sur trois en 2005.
En juin 2005, 41,5 % des salariés des TPE étaient employés à temps partiel, sur un contrat à durée déterminée ou bénéficiant d’une aide ciblée de l’État.
En juillet 2006, la hausse du SMIC horaire a touché 15,1 % des salariés des entreprises non agricoles et hors secteur de l’intérim. Ont ainsi bénéficié de cette revalorisation 2 270 000 personnes, hors apprentis, dont 970 000 à temps partiel.
En 2005, 1,86 million de journées de chômage partiel ont été autorisées en France métropolitaine. Elles ont touché 170 000 salariés. Les autorisations de chômage partiel diminuent de 2,5 % en 2005, après une baisse de 25,7 % en 2004.