Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2015
- 9 novembre 2017
- Dares Résultats N°072
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail s’élèvent à 122 milliards d’euros (Md€) en 2015, soit 5,6 points de PIB.
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Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail s’élèvent à 122 milliards d’euros (Md€) en 2015, soit 5,6 points de PIB.
Créées en plein coeur de la Grande Récession, les entreprises Airbnb et Uber sont devenues en quelques années des start-up mondiales, symboles de l’essor d’une « nouvelle économie ».
En 2014, dans un contexte de croissance économique modérée, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’élève à 31,6 milliards d’euros.
Ce travail réalisé dans le cadre du comité de suivi du Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) examine les interactions éventuelles entre plusieurs mesures prises entre 2011 et 2012 ayant mené à des augmentations du coût du travail et l’exposition au CICE.
Le présent guide a pour objectif de décrire le contenu du compte national de la dépense pour la formation professionnelle continue et de l’apprentissage et d’expliquer les méthodes et choix indispensables à sa construction.
D’un montant de 29,8 milliards d’euros en 2008, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’accroît de 5,3 % par rapport à 2007.
Le nombre d’heures supplémentaires augmente sur un an dans les entreprises de toutes tailles et plus fortement dans les entreprises de 250 à 499 salariés.
Le nombre d’heures supplémentaires augmente sur un an dans les entreprises de 20 à 499 salariés et diminue dans celles de 10 à 19 salariés et dans celles de plus de 500 salariés.
Les lois en faveur du travail, de l’emploi et du pouvoir d’achat (Tepa) et pour le pouvoir d’achat (Pa) de 2007 et 2008 ont mis en place des dispositifs incitatifs visant à agir sur les comportements d’usage des heures supplémentaires et complémentaires et des jours de congés.
Cette enquête visait à appréhender la perception par les salariés des dispositifs d’allongement du temps de travail tels que le recours aux heures supplémentaires ou complémentaires et les pratiques de rachat des jours de congés.