L’organisation du temps de travail
- 19 novembre 2015
- Septennales
- Nationales
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Les activités de services à la personne bénéficient aujourd’hui d’un système socio-fiscal spécifique, destiné à encourager l’emploi dans ce secteur et à réduire le travail au noir, tout en favorisant le maintien à domicile des personnes fragilisées.
Au 2e trimestre 2015, l’activité économique française est stable après une progression de 0,7 % au trimestre précédent.
À la fin du 2e trimestre 2015, 549 000 salariés sont intérimaires, soit une hausse de 19 100 postes par rapport à la fin du trimestre précédent (+3,6 %).
En 2013, 56,1 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,7 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
À la fin du 1er trimestre 2015, 531 000 salariés sont intérimaires, soit une baisse de 8 900 postes par rapport à la fin du trimestre précédent (-1,6 %).
Ce numéro de Synthèse.Stat’ présente les contraintes auxquelles les salariés sont soumis et le degré de latitude dont ils disposent en matière d’organisation du temps de travail : semaine et journée de travail, horaires atypiques, congés, dépassements, astreintes, etc.
Jusqu’en 2014, toutes les entreprises étaient tenues de verser un pourcentage minimal de leur masse salariale au titre de la formation continue des salariés.
L’édition 2013 visait à obtenir une description concrète du travail, de son organisation et de ses conditions selon divers angles : horaires, rythmes de travail, efforts physiques ou risques encourus, pénibilité, organisation du travail, sécurité, coopération, conflits...
À la fin du 4e trimestre 2014, 542 100 salariés sont intérimaires, soit une hausse de 24 100 postes par rapport à la fin du trimestre précédent (+4,7 %).