L’organisation du temps de travail
- 19 novembre 2015
- Septennales
- Nationales
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Au milieu des années 1980, les familles professionnelles sont nées d’un besoin d’unifier et de standardiser des classements créés par les statisticiens dans différentes régions. Ces outils avaient été construits dans le but de réunir, à travers un même filtre, les statistiques de l’emploi ainsi que celles de demande et d’offre d’emploi, en articulant les données de ces deux univers.
Les activités de services à la personne bénéficient aujourd’hui d’un système socio-fiscal spécifique, destiné à encourager l’emploi dans ce secteur et à réduire le travail au noir, tout en favorisant le maintien à domicile des personnes fragilisées.
Au 2e trimestre 2015, l’activité économique française est stable après une progression de 0,7 % au trimestre précédent.
À la fin du 2e trimestre 2015, 549 000 salariés sont intérimaires, soit une hausse de 19 100 postes par rapport à la fin du trimestre précédent (+3,6 %).
En 2013, 56,1 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,7 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
À la fin du 1er trimestre 2015, 531 000 salariés sont intérimaires, soit une baisse de 8 900 postes par rapport à la fin du trimestre précédent (-1,6 %).
Ce numéro de Synthèse.Stat’ présente les contraintes auxquelles les salariés sont soumis et le degré de latitude dont ils disposent en matière d’organisation du temps de travail : semaine et journée de travail, horaires atypiques, congés, dépassements, astreintes, etc.
Jusqu’en 2014, toutes les entreprises étaient tenues de verser un pourcentage minimal de leur masse salariale au titre de la formation continue des salariés.