Étude de terrain qualitative des ordonnances du 22 septembre 2017 réformant le droit du travail
- Le 7 mai 2015
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Jusqu’en 2014, toutes les entreprises étaient tenues de verser un pourcentage minimal de leur masse salariale au titre de la formation continue des salariés.
L’édition 2013 visait à obtenir une description concrète du travail, de son organisation et de ses conditions selon divers angles : horaires, rythmes de travail, efforts physiques ou risques encourus, pénibilité, organisation du travail, sécurité, coopération, conflits...
La loi du 1er mars 2013 portant création du contrat de génération instaure une aide à destination des petites et moyennes entreprises, pour l’embauche d’un jeune en CDI associée au maintien en emploi ou à l’embauche d’un salarié âgé.
En 2012, dans un contexte de croissance économique très faible, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 32 milliards d’euros.
Au 3e trimestre 2014, pour les établissements de 1 salarié ou plus, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, s’établit à 15,0 %.
Ces déclarations permettaient de suivre les mouvements de main-d'œuvre générés par les recrutements et les départs des établissements.
L’enquête visait à analyser la relation entre les salariés et la direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social …).
Au deuxième trimestre 2010, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, augmente assez sensiblement à 11,2 %, après le léger infléchissement du trimestre précédent.
Fin 2007, les trois quarts des employeurs ayant recruté en contrat d’accompagnement dans l’emploi, contrat d’avenir, contrat initiative emploi ou contrat insertion-revenu minimum d’activité déclaraient que leur salarié avait suivi une formation au cours du contrat.