Les mouvements de main-d'œuvre au 4e trimestre 2005
- 10 novembre 2006
- Dares Indicateurs N°46.3
Au quatrième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim se stabilise dans les établissements d’au moins dix salariés.
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Au quatrième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim se stabilise dans les établissements d’au moins dix salariés.
Fin 2005, 500 000 personnes avaient obtenu un certificat « Naviguer sur Internet » (NSI) validant ce module.
Signe d’une meilleure conjoncture, au troisième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim progresse à nouveau très légèrement pour le deuxième trimestre consécutif.
Au deuxième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim repart à la hausse dans les établissements de plus de dix salariés.
En 2003, l’activité des organismes de formation continue reste soutenue : leur chiffre d’affaires progresse de 10 % et le nombre de stagiaires de 9 %. Les entreprises et les pouvoirs publics apportent deux tiers des financements.
En 2004, 330 000 chômeurs ont débuté une formation financée par l’État. Les stages d’insertion et de formation à l’emploi (SIFE) se replient, alors que les stages d’accès à l’entreprise (SAE) et les stages de l’AFPA restent stables.
Les très petites entreprises (TPE) recourent davantage à des formes d’emploi à durée limitée ou à temps partiel et à des contrats aidés par l’État que leurs homologues de 10 salariés ou plus.
Au premier trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim fléchit dans les trois grands secteurs d’activité.
Les recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus restent à un faible niveau pour le deuxième trimestre consécutif. L'essoufflement du rythme des embauches s'observe dans tous les secteurs. Il est un peu plus prononcé ce trimestre dans le secteur tertiaire.
Les recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus chutent de plus de 10 % entre le quatrième trimestre de 1990 et le premier trimestre de 1991. Le taux d'entrée en données corrigées des variations saisonnières passe en effet de 7,8 % à 7,0 %.