Conflits de valeurs et exigences émotionnelles
- 18 avril 2019
- Synthèses Stat/Éval' N°028
En 2016, 41,9 % des salariés disent parfois ne pas pouvoir faire du bon travail, devoir parfois sacrifier la qualité.
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En 2016, 41,9 % des salariés disent parfois ne pas pouvoir faire du bon travail, devoir parfois sacrifier la qualité.
Dans quelle mesure les ressources dont disposent les femmes salariées dans leur travail et les expositions auxquelles elles y sont soumises sont liées au fait qu’elles réduisent leur temps de travail ou arrêtent leur activité suite à une naissance ?
En 2016, 66,7 % des salariés déclarent être aidés par leurs supérieurs hiérarchiques s’ils ont du mal à faire un travail délicat ou compliqué.
En 2016, 5,9 % des salariés déclarent travailler habituellement trois jours ou moins par semaine dans leur emploi principal.
Ce numéro de Synthèse. Stat’ présente les résultats de l’enquête Conditions de travail – Risques psychosociaux de 2016 concernant les indicateurs relatifs aux contraintes physiques et à l’intensité du travail.
Plus âgés que la moyenne des salariés, les représentants du personnel sont un peu plus souvent des hommes que des femmes, surtout parmi les délégués syndicaux.
Les salariés qui travaillent en contact avec le public subissent plus souvent que les autres des contraintes émotionnelles importantes.
Parmi les personnes en emploi qui signalent un problème chronique de santé – qu’il soit bénin, sérieux ou grave -, une sur deux estime qu’il est « causé ou aggravé par le travail » d’après les résultats de l’enquête « Santé, Handicap et Travail » de 2007.
Le présent guide a pour objectif de décrire le contenu du compte national de la dépense pour la formation professionnelle continue et de l’apprentissage et d’expliquer les méthodes et choix indispensables à sa construction.
D’un montant de 29,8 milliards d’euros en 2008, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’accroît de 5,3 % par rapport à 2007.