Enquête Acemo au 1er juillet 1988
- 13 septembre 1988
- Dares Indicateurs N° 100
Dans les secteurs marchands non agricoles, l'emploi salarié a progressé de 0,1 % au deuxième trimestre 1988 en données corrigées des variations saisonnières.
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Dans les secteurs marchands non agricoles, l'emploi salarié a progressé de 0,1 % au deuxième trimestre 1988 en données corrigées des variations saisonnières.
Création d'emplois pour les cadres et les professions intermédiaires, réduction pour les employés et surtout les ouvriers, telles sont les grandes lignes de l'évolution de l'emploi par professions dans les établissements de plus de dix salariés entre mars 1984 et mars 1987.
La C.G.T. continue de reculer, mais sensiblement moins vite. Le phénomène le plus marquant est le recul de la C.G.T.-F.O. (-1,3 %) alors que les années précédentes avaient vu une progression régulière de ce syndicat. La C.F.T.C. et la C.F.E.-C.G.C. reculent très légèrement.
Un actif sur quatre utilise un ordinateur dans son travail en 1987.
L’objectif de l’enquête était de décrire l’organisation du travail dans les entreprises et en particulier l’utilisation des nouvelles technologies par les salariés.
Le recul de la C.G.T. se poursuit, mais à un rythme plus lent ; la C.F.D.T., la C.F.T.C. et les "autres syndicats" sont à peu près stables. Les non-syndiqués continuent leur progression, de même que, à un degré moindre, F.O. et la C.G.C.
Au 31 décembre 1985 sur 34 513 établissements de 50 salariés et plus, 19 815 soit 57,4 % possédaient au moins un délégué syndical
L'année 1985 est marquée par l'apparition de la SNCF dans le champ des comités d'entreprise (les élections de 1983 à la SNCF avaient été annulées). Le recul de la CGT et de la CFDT se poursuit.
Les contraintes de rythme de travail, leurs sources, leurs modalités ainsi que différents types de nuisances et risques perçus par les salariés dans l'environnement de leur travail.
Entre 1982 et 1984, le travail en équipes successives s'est développé : la proportion de salariés concernés passe de 10,4 % de l'ensemble des salariés en 1982, à 12,6 % en 1984. Et la part des établissements ayant recours à ce mode de travail, de 7,4 % à 8,7 % de l'ensemble des établissements.