L’organisation du temps de travail
- 19 novembre 2015
- Septennales
- Nationales
16 résultats
Les trois quarts des responsables de structures de l’insertion par l’activité économique estiment pouvoir choisir la personne qu’ils recrutent.
En 2013, 127 600 salariés en insertion ont travaillé dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), en moyenne chaque mois.
Ce numéro de Synthèse.Stat’ présente les contraintes auxquelles les salariés sont soumis et le degré de latitude dont ils disposent en matière d’organisation du temps de travail : semaine et journée de travail, horaires atypiques, congés, dépassements, astreintes, etc.
44 % des personnes embauchées dans les structures de l’insertion par l’activité économique (SIAE) ont trouvé leur emploi par leurs propres moyens ou par le bouche à oreille.
Les salariés des ateliers et chantiers d’insertion (ACI) et des entreprises d’insertion (EI), plus éloignés de l’emploi, sont plus souvent accompagnés que ceux des associations intermédiaires (AI) et des entreprises de travail temporaire d’insertion (ETTI).
L’édition 2013 visait à obtenir une description concrète du travail, de son organisation et de ses conditions selon divers angles : horaires, rythmes de travail, efforts physiques ou risques encourus, pénibilité, organisation du travail, sécurité, coopération, conflits...
L’enquête visait à analyser la relation entre les salariés et la direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social …).
En 2007, le rythme de croissance des embauches exonérées dans les zones de revitalisation rurale (ZRR) ralentit : près de 13 000 salariés ont été embauchés, soit une hausse de 11 % après 31 % entre 2005 et 2006.
En 2008, le travail du dimanche concerne près de 6,5 millions de salariés, soit 28 % d’entre eux.