L’organisation du temps de travail
- 19 novembre 2015
- Septennales
- Nationales
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Les trois quarts des responsables de structures de l’insertion par l’activité économique estiment pouvoir choisir la personne qu’ils recrutent.
Au milieu des années 1980, les familles professionnelles sont nées d’un besoin d’unifier et de standardiser des classements créés par les statisticiens dans différentes régions. Ces outils avaient été construits dans le but de réunir, à travers un même filtre, les statistiques de l’emploi ainsi que celles de demande et d’offre d’emploi, en articulant les données de ces deux univers.
Entre 2009 et 2014, le dispositif Nacre a bénéficié à 124 400 porteurs de projet de création ou de reprise d’entreprise. Fin 2014, 32 400 porteurs de projet étaient accompagnés dans ce cadre.
En 2013, 127 600 salariés en insertion ont travaillé dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), en moyenne chaque mois.
Ce numéro de Synthèse.Stat’ présente les contraintes auxquelles les salariés sont soumis et le degré de latitude dont ils disposent en matière d’organisation du temps de travail : semaine et journée de travail, horaires atypiques, congés, dépassements, astreintes, etc.
44 % des personnes embauchées dans les structures de l’insertion par l’activité économique (SIAE) ont trouvé leur emploi par leurs propres moyens ou par le bouche à oreille.
Les salariés des ateliers et chantiers d’insertion (ACI) et des entreprises d’insertion (EI), plus éloignés de l’emploi, sont plus souvent accompagnés que ceux des associations intermédiaires (AI) et des entreprises de travail temporaire d’insertion (ETTI).
Jusqu’en 2014, toutes les entreprises étaient tenues de verser un pourcentage minimal de leur masse salariale au titre de la formation continue des salariés.